Hommage au rescapé.
Nous avions plus de quarante ans de différence, et pourtant Jacques était vraiment un ami.
Je me rappelle très bien lorsque j’ai fait sa connaissance. Ce devait être début 1988, j’avais commencé à travailler à Yad Vashem depuis peu et, pour un groupe de près de 100 jeunes de France, on m’avait suggéré d’inviter Jacques Stroumsa à témoigner. J’ai été absolument subjugué. Non seulement par son témoignage, bien sûr, que l’on peut retrouver dans son livre au titre si (…)