En tant que rabbin Massorti et pour ceux qui connaissent mon parcours d’ancien juif orthodoxe, je suis souvent confronté à cette question, qui m’est posée autant par des juifs orthodoxes que par des réformés ou des laïques.
Les membres de ma propre communauté me posent eux-mêmes parfois cette question, cherchant à délimiter cette frontière insaisissable qui les différencie des membres d’autres courants du judaïsme. Certains pourraient imaginer que depuis tout ce temps, j’aurais trouvé (…)