Joseph et Moïse à la lumière de l’archéologie
Une passionnante conférence à écouter sur Akadem par Joseph Davidovits, Professeur qui émet des hypothèses audacieuses sur Joseph et l’Exode.
http://www.akadem.org/sommaire/them...
Joseph et Moïse à la lumière de l’archéologie
Une passionnante conférence à écouter sur Akadem par Joseph Davidovits, Professeur qui émet des hypothèses audacieuses sur Joseph et l’Exode.
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La parasha nous parle de la règle du Nazir, la Haftara nous rapporte l’exemple de Shimshon. Pour ne pas être trop long, seule sa naissance est racontée dans la Haftara ; mais la suite de l’histoire mérite d’être connue.
Conférence sur la Haftara Nasso
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Retrouvez tout le cycle des haftarot commentées par Yeshaya Dalsace sur Akadem
Texte de la Haftara
Il y avait un homme de Tsorea, de la famille des Danites, et qui s’appelait Manoach. Sa femme était stérile, et (…)
Notre paracha nous met face à la question du rapport d’Israël à sa terre dans l’épisode des explorateurs.
Deux extrêmes peuvent être décrits à partir de la manière dont les explorateurs décrivent cette terre (Nombres 13, 27-33). D’abord l’autochtonie, exemplifiée par les peuples de Canaan : j’ai tous les droits sur cette terre, puisque j’y suis né et qu’un lien de sang me lie ainsi avec elle. C’est le rapport à la terre-mère, lien fusionnel premier, qui fait du droit un simple appendice de (…)
Notre parasha est une des plus célèbres de ce livre des Nombres. Le personnage qui se trouve au centre du récit principal, et qui donne son nom à l’ensemble de la parasha,
est devenu en effet le symbole du politicien sans scrupule, à la recherche du pouvoir pour le plaisir de régner et, de plus, sachant utiliser la démagogie pour tenter de trouver un soutien parmi le peuple.
[*La "dispute de Korach", au cours de laquelle, sous prétexte de défendre la démocratie, ce cousin de Moïse a (…)
La parasha de cette semaine est l’exacte prolongation de celle de la semaine dernière, continuant à nous enseigner les principes des sacrifices
et de la manière dont les Cohanim, les prêtres, doivent les effectuer. Ce culte des sacrifices, qui ouvre ainsi le livre du lévitique, recouvre en fait plusieurs dimensions de la spiritualité juive : il y a tout d’abord la notion même d’approche de Dieu, contenue dans le mot hébreu "korban", qui vient de "karov", proche.
Le sacrifice est donc (…)
Notre parasha contient deux textes fondamentaux du Judaïsme : celui des dix commandements et la "lecture du Shema".
Ces deux textes sont en quelque sorte le "credo" de base du Judaïsme et il n’est pas étonnant qu’ils aient été lus tous deux à haute voix au cours du cérémonial du Temple, avant sa destruction en l’an 70.
La lecture du Shema est restée centrale dans la prière juive, matin et soir. Par contre, le texte des dix commandements a disparu de notre pratique cultuelle. En effet, (…)
En dehors des sujets très connus de notre parasha : Balaam et son ânesse, la question de la prophétie, celle de la magie… Cette parasha soulève une question obsédante pour le peuple juif : celle de son trop petit nombre.
Si l’on prend au sérieux les chiffres de la Tora, il n’en était rien, puisque le nombre total des juifs dans le désert s’élevait à plus de 3 millions de personnes ! Cependant, ce chiffre ne peut être compris qu’à un niveau symbolique, car sur le plan démographique (…)
Petite leçon contre le fondamentalisme...
Voici ce qui est dit littéralement à la fin de notre paracha, lors de l’inauguration du sanctuaire : « Et lorsque Moïse entrait dans la tente de la rencontre pour parler avec Lui, il entendait la Voix qui lui parlait du dessus du couvercle qui était au-dessus de l’arche du témoignage, d’entre les deux chérubins, et il lui parlait » (Nombres 7, 89). Voilà une réussite complète, puisque la tente de la rencontre institutionnalise de la sorte ce qui (…)
Est-ce pour démontrer l’absurdité des divers fondamentalismes , de ceux qui suivent la Bible de façon littérale et aveugle, que A.J. Jacobs, journaliste new-yorkais et juif agnostique, a décidé de suivre pendant une année la Bible à la lettre ?
Ou plutôt et encore, parce que las de l’esprit rationnel occidental, il a voulu vivre de l’intérieur la poésie des mythes ? Ceci étant, A.J. Jacobs n’en est pas à sa première mue et expérimentation un peu farfelue. En cela, il suit une véritable (…)
Fin de la Genèse.
Le goût et la traduction
Quelle double part pour Joseph ? Analyse d’une double interprétation.
Le Judaïsme est une tradition vivante.
Le don de la Torah n’a pas été un événement limité dans le temps, mais est au contraire un rendez-vous qui se répète chaque jour, si nous le désirons et que nous trouvons la voie pour nous trouver, nous aussi, au pied du mont Sinaï.
Mais cette rencontre répétée est, en même temps, à chaque fois différente, justement parce que le (…)